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Le salon littéraire et ses voyages ... pièce N°5

Dernière mise à jour : 21 janv.


Chopin se souvient de sa Pologne natale.

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Les mazurkas de Chopin sont empreintes Le pont japonais

de nostalgie

et des saveurs de la terre natale. Monet introduit dans ce tableau des nymphéas, une arche qui nous invite à un voyage.



Il y a la madeleine de Proust, il y a le rubato de Chopin, les voyages de Monet,

Il y a la sonate de Vinteuil.

Il y a aussi le temps des cerises.

Maintenant il y a les culurgiones. On lit d'abord, on mange après.


Ce nouvel article s’articule autour de plusieurs points sous la bienveillante houlette du thème de la nostalgie.


1/ Louisa nous parle des bouleaux. Toute une symbolique s'y rattache.

2/ "L'île de Fred" est un nouvel onglet où Fred se fera un plaisir de nous parler de la Sardaigne.


3/ Le coin de Randy. Aujourd'hui, Randolph nous parle de Cyrillus Kreek.

4/ La saga des fadas, tiens, qu'est ce donc ? C'est un peu le moment d'en être un peu fada de représentations théâtrales et puis ce sont les vacances et une balade sur les côtes méditerranéennes, ce n'est pas de refus surtout si je propose de découvrir l'île de Martigues.




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Louisa , notre amie peintre présente les bouleaux, arbres sacrés pour les chamanes et les druides.

Arbre de l''amitié , de la sagesse , la légende rapporte que , malmené par les tempêtes, il reste toujours posé sur la falaise, recevant toutes les fureurs mais restant à jamais fidèle. Louisa nous restitue aussi cette force tranquille. L'écorce est si résistante qu'on l’utilisait pour y inscrire des textes.

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Bouleau roux Bouleaux au bord du lac




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L'île de Fred


Les culurgiones


Chers amis,

Merci d'avoir regardé cette vidéo qui m'a replongé dans des souvenirs d'enfance encore bien présents. Comme tout un chacun, ces souvenirs sont composés d'odeurs, de saveurs et de multiples images qui semblent encore passer sur le grand écran d'un cinéma qui ne fermera jamais. Je sais pourtant, que le temps a fait son œuvre et a modelé ces sentiments que j'essaie de garder intacts. Comme on le dit, le temps ne fait rien à l'affaire d'où une forme d'appréhension à retourner à Lanuseī et de gâter ces merveilleux souvenirs. J'écris souvent que la poussière soulevée par mes pas de naguère n'est jamais réellement retombée.

Les culurgiones, voici la recette. Me sont revenus des souvenirs d'enfant à l'occasion de ce festival à Lanuseï, dans la province d'Ogliastra, en Sardaigne, la terre de mon père.

( Frédéric A., alias Fredoladouleur , juillet 2022)


" A 2 minutes 30 de la vidéo, on aperçoit le fameux pain sarde " le pistoccu" que je passais sous l'eau afin de l'humidifier légèrement avant de le saupoudrer abondamment de sucre . "


Un souvenir qu'on ne peut oublier tant il fleure bon l'odeur du pain qui fait notre enfance.




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Randolph parle de tous les genres de musique.

Son espace se développe en sous-espaces. Il nous donne une réflexion sur ce qui traverse les âges , les thèmes qui se retrouvent et se transmettent dans les musiques.


La transmission de l’art,

l’art de la transmission


Je m’interroge. Quel est donc le fil qui relie, à travers les siècles, les œuvres musicales ?La musique est-elle l’art qui se transmet le plus aisément ? Dans l’attente de lumières sur ces questions, je vous propose un exemple.

Il existe un très bel enregistrement de psaumes comprenant des œuvres de Felix Mendelssohn (1809 – 1847) et de Cyrillus Kreek, compositeur Estonien (1889 – 1962).

L’interprétation est irréprochable, par les Chœurs de l'Orchestre philharmonique Estonien, dirigés par Daniel Reuss (© Ondine 2012).

Je perçois une parfaite continuité et une réelle harmonie entre les deux compositeurs, une invisible transmission. De même, Mendelssohn fut inspiré par ses vénérables prédécesseurs.

Attardons-nous sur Cyrillus Kreek, le temps de présenter son œuvre la plus célèbre, le Requiem en do mineur (1927), absolument superbe !

(Randolph, juillet 2022)



Felix Mendelssohn, 3 Psalms, Op. 78: No. 2. Psalm 43, "Richte mich, Gott"



Cyrillus Kreek, "Õnnis on inimene" Taaveti laul Nr.104



Cyrillus Kreek, Requiem - introitus







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La saga des fadas

- "La saga des fadas en vagabondage" est une troupe théâtrale qui se produit au théâtre des Salins à Martigues. La pièce de théâtre "Gens d'ici, rêves d'ailleurs " est un hymne à la joie et le réalisateur n'hésite pas à solliciter les habitants de Martigues qui sont invités à partager les anecdotes de leur vie.

Ainsi une réelle relation se crée entre la ville et les habitants. Leur pensée "se théâtralise " .


- "La saga des fadas", c'est aussi le projet "Les fadas du monde", un projet culturel à Martigues visant à promouvoir toutes les formes d'art et de culture, de faire connaître les artistes et le monde d'aujourd'hui. C'est un théâtre de verdure qui s'expérimente sous les douces beautés des bords de l'étang de Berre.

- Ainsi en gastronomie, une cheffe étoilée Nadia Sammut s'est fait connaître en lançant le " goût d'aujourd’hui".

- Des campements se sont créés sous le cri de lancement de " Yes we camp!"

- Cinéma, balades, arts des rues et musique se développent, des expositions se tiennent dans des salles ouvertes à tous, un projet appelé " Comptoir de la mondialité" par les habitants de Martigues.


- "La saga des fadas bucoliques ", c'est un autre projet familial à Martigues.

Ainsi s'est créé un espace jardin, un jardin botanique qui fait pousser de manière saine, les plantes potagères et fruitières.

Les fleurs ne sont pas oubliées.

Les roseraies sont de toute beauté comme le montre la page facebook de ces jardiniers.


- "La saga des fadas" , c'est aussi une belle page littéraire .

Son auteur nous fera-t-il le plaisir de présenter son texte ?


Car Martigues, c'est aussi un vivier d’auteurs, de poètes et de musiciens. Un lieu emblématique que des oeuvres cinématographiques ont immortalisé.

Je viens de rencontrer l'île de Martigues riche en histoire, passage des Phéniciens et des Grecs, qui ont laissé des villages entiers sur les ruines desquels se sont construits les nouveaux paysages de l'île.

J'ai lu ce que dit le Net et les ouvrages concernés mais je pense que personne ne peut mieux en parler que ceux qui y sont allés, qui l'ont arpentée ou qui y ont vécu.


(Ginette Flora, juillet 2022)

La plage de Martigues d'Auguste Renoir

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Martigues


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Port de Martigues de Jacques Volpi Pointe de brescon d'Antoine Ponchin



Le salon littéraire et musical

Juillet 2022











5 commentaires


Hélène Cuinier
Hélène Cuinier
21 juil. 2022

blog bien original, et très varié en plus: enfin de la vraie culture, accessible à tous! bravo à tous

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Hélène Cuinier
Hélène Cuinier
21 juil. 2022
En réponse à

bonsoir Ginette,

Puis-je m'inscrire sur le blog pour être informée en temps réel de la publication de nouveaux articles, et oui, avec plaisir je ceux bien parfois parler de littérature française, mon domaine de prédilection, surtout les auteurs des 18, 19 et 20 ème siècles.

A très vite


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Alain Derenne
Alain Derenne
19 juil. 2022

Un blog génial ou se mélange textes photos et peintures,

Merci Ginette.

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Merci beaucoup, Alain.

Je souhaiterais présenter vos tableaux, certains sont d’une telle richesse de pensée que je les contemple souvent , la série sur les terres d’Afrique du Nord, le souk , la danse , le repos .... je n’attends que votre accord d’autant que vous êtes un abonné du blog .

Je vous souhaite une bonne soirée.


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